L'informazione non è un optional, ma è una delle condizioni essenziali dell'esistenza dell'umanità. La lotta per la sopravvivenza, biologica e sociale, è una lotta per ottenere informazioni. |
Je sais que le pouvoir des mots est terriblement limité.
A bien considérer les choses, il n’y a pas l’ombre d’une preuve que l’espèce humaine soit le summum de l’intelligence vivante dans l’arène de l’univers infini.
Assignée par la vie, rien ne saurait échapper à la sélection naturelle de l’évolution.
Autoproclamée comme l’être vivant le plus intelligent, nous n’ en sommes pas moins bien plus limité que beaucoup d’autres espèces animales vivant sur Terre. Prenons par exemple le tardigrade qui est le plus résistant des espèces connus. L’être humain est limité à bien des niveaux, organisme fragile, peu sensitif et cognitivement il n’est pas non plus au sommet de la pyramide.
Nous pouvons seulement imaginer l’éventuelle existence d’osselets atrophiés à l’intérieur de nous-même, dans un état de totale amnésie.
Pour la science et nos préjugés, la conclusion est la même.
A ce jour, il n’y a pas de traces d’osselets chez les femmes et les hommes. L’intelligence biologique humaine a surgit il y a seulement quelques milliers d’années.
La culture des cétacés a résistée à l’épreuve du temps depuis plus de 50 millions d’années.
Dans ces temps très anciens, le dauphin a su s’adapter d’une vie terrestre à une vie aquatique.
Capable de survivre dans les milieux les plus hostiles, le delphinidé apparaît comme une espèce intéressante à étudier.
Face aux faits de la réalité, il est très en avance sur tout ce qui touche aux choses essentielles de la vie.
Pourtant intensément étudié, on ne sait pas grand-chose de l’Umwelt ( se réfère à < l’autre monde>) perçu et considéré par le dauphin.
Comme pour toute espèce animale, essayer de cerner l’Umwelt , c’est essayer de voir à travers le prisme de leurs sens propres sur comment et pourquoi ils communiquent entre eux.
Il est vrai que leurs capacités cognitives sensori-perceptives et motrices sont si différentes des nôtres.
Le dauphin semble nous connaître parfaitement. Quand il plonge ses ondes mentales en nous, il aurait la capacité de sonder notre nous latent. Je laisse aux lecteurs ayant pu vivre diverses interactions
avec ces cétacés en tirer leurs propres conclusions.
Pas encore éclaircie, la véritable nature des sons-ondes-fréquences refait surface . Le temps est une boucle sans fin.
Gênée de rien, la vitesse supraluminique ( supérieure à « 300 000 km /s) nous ouvre-t-elle les portes de la communication silencieuse ?
La méconnue langue d’avant les mots, la télépathie instantanée. L’origine des signaux secrets du delphinidé se trouve-t-elle dans les profondeurs de sa conscience cellulaire ? Nous l’ignorons encore. Se pourrait-il que l'intelligence et la sensibilité des dauphins soient bien au-delà des affirmations scientifiques ?
Le plus connu et aimé des dauphins est le Tursiops ou grand dauphin.
En 1964, le Dr DWIGHT WAYNE BATTEAU a participé au dolphin projects, visant à développer un langage entre humains et dauphins.
Ce programme de recherche ayant trait à communiquer fructueusement avec les dauphins se situait dans un lagon d'une petite île, coconut island, à l'est d'Oahu, propriété de l'état d’Hawaï.
A cette époque, des traducteurs ont étés construits pour traduire les sons des voyelles articulées en sifflements sinusoïdaux, notamment pour deux tursiops tuncatus, Puka et Maui. C'est l'expérience Batteau (1967) précédent le Beat frequency test, pour tracer l'ouverture d'un canal de communication cérébral distinct, axé sur la télépathie.
Les manuels techniques des traducteurs utilisés ont depuis été perdus...
Le Dr Dwight Batteau se serait noyé lors d'une baignade matinale le 26 octobre 1967, juste avant que les deux dauphins ne soient transportés à l'institut océanique du Sua life park.
Une mort inattendue pour cet excellent nageur, se portant bien et sans antécédents pathologiques.
On pourrait se poser beaucoup de question sur ce qui a bien pu se passer à coconut island, surtout qu'il a amorcé cette étude avec le financement de l'US NAVY.
En finalité nous ne sommes pas plus avancé sur les résultats de ses recherches ni sur les vérifiables circonstances de sa noyade.
Les résultats obtenus de ses travaux scientifiques ont été classifiés « secret militaire ».
Le mutisme officiel de l'US NAVY est une page blanche en attente de réponses.
Il apparaît que les circonstances dans lesquelles s'était déroulée l'expérience sur Puka et Maui ainsi que les autres projets en cours de l'US Navy en eaux profondes ne reposent sur rien. Aucune certitude que les cétacés aient développé par un tout autre chemin d'évolution, une forme d'intelligence et de conscience élevée à un degré inconnu de nous.
Pourtant, les dauphins sont extrêmement intelligents.
Il se peut que le phrasé des sifflets, fluidifiant le flot de communications, souvent simples et répétitives sous cette apparence, ait fait émerger au cours de millions d'années d'évolution sous-marine, une société où rien n'est ce qu'il paraît être.
La science biologique nous amènera-t-elle bientôt à comprendre que nous ne sommes pas la forme de vie la plus évoluée sur cette planète ?
Ne soyons pas naïfs, si le dauphin a parlé, il ne nous a en réalité rien dit.
Le plus surprenant serait qu'en réalité pour des raisons connues d'eux seuls, les dauphins ne soient aucunement intéressé par le fait d'établir de profonds échanges de communications avec les humains.
Pourquoi le feraient-ils ?
Si le dauphin est capable de ressentir les émotions alors il est capable d’interpréter et comprendre aussi les intentions.
Aurait -il plus appris sur les humains que les humains sur lui ?
En seigneur des océans, le dauphin éprouve compassion et résilience envers l’être humain.
Pas toujours prévisible, il arrive parfois des cas d’agressivité dans l’approche d’humains de tous âges. Mais également pour des dauphins d’espèces différentes. Il a appris à motiver son corps et esprit à harceler, épuiser les femelles, violer les jeunes mâles.
Mû par son instinct, ses émotions et son désir d’être heureux, il peut même chasser pour le plaisir.
Pour en venir à l’équipement biologique dont la nature l’a pourvu, il est scientifiquement prouvé que ses aptitudes cognitives sont digne d’un physicien. A un détail près et pas des moindres, contrairement au physicien, le dauphin n’ a nullement besoin de matériel complexe, perfectionné ou sophistiqué. Il maîtrise une science certaine de la vie que nous ne comprenons pas.
Je reste saisi d’interrogations sur le dauphin.
Afin d’en comprendre d’avantage sur ce cétacé, j’ai pris contact et commencer à échanger avec la DR. Diana REISS, une scientifique étasunienne de renommée mondiale, experte en matière d’intelligence du dauphin.
Moi/ « DR. Reiss, selon vous, pouvons-nous dire que le delphinidé a une conscience plus affinée et bien différente de la nôtre au point de se préserver et de ne pas vouloir totalement communiquer avec notre espèce ? »
DR Reiss/ «En ce qui concerne leur niveau de conscience, les dauphins sont certainement conscients de leur comportement et de celui des autres. Ils font preuve de niveaux élevés de conscience personnelle et sociale. Il est difficile de répondre à la deuxième partie de votre question : Quelles preuves aurions-nous pour suggérer cela ou comment pourrions-nous le savoir ? »
Moi/ « Concrètement, pouvons-nous penser que les sons émis par les dauphins lors de leurs échanges entre eux, soient les seuls ou existerait-il des signaux plus subtils qui nous échappent ?
DR Reiss/ » En réponse à votre deuxième question, comme nous et de nombreuses autres espèces, les dauphins utilisent des signaux multimodaux ( acoustiques, visuels, posturaux et autres mouvements corporels, tactiles, spatiaux) lorsqu’ils communiquent. Cela présente un défi dans nos tentatives de décoder leurs signaux de communication. Comme d’autres espèces, y compris nous-mêmes, s’appuient sur des signaux acoustiques lorsqu’elles sont séparées, mais quand elles sont ensemble, elles peuvent utiliser toute une variété de signaux. » Ceci étant, la vie par nature est imprévisible. La tromperie peut se révéler utile pour le dauphin.
Un cas exemplaire est celui de la dauphine Kelly.
Prisonnière dans un bassin, elle dû recourir à diverses astuces pour obtenir plus de poisson.
Habituée à ramener des débris, elle a improvisé à l’insu de tous, un fourre-tout plein de résidus au fond du bassin. Ainsi, elle « impose » en mode infinitum son troc avec les dresseurs en enseignant son astuce à ses petits.
Décidemment, quelle journée !
Welcome à l’institut d’études des mammifères marins du Mississipi !
Et maintenant, les projecteurs se sont éteints.
Ainsi, l’être humain qui semble seul maître, n’agit peut-être qu’en second au regard du dauphin.
Le cerveau des émotions du dauphin est très mystérieux.
Particulièrement instinctif, ce cétacé échappe en partie, à l’explication biologique de la science.
On peut volontiers affirmer que son biosonar soit à l’écoute des signaux émotionnels et variations d’attitude de l’humain.
Ce mammifère marin à sang chaud a une tendance naturelle à ressentir des désirs, des joies, des peurs et des peines assez comparables aux nôtres.
Il n’est pas question de l’humaniser, il est différent, mais pas inférieur. Il s’exprime spontanément et totalement vers la vie et la survie.
A l’impulsion voulu de son cerveau, le dauphin sauvage repère les ondulations rapides d’un banc de poissons.
Sa vision est panoramique ( de 120 à 130 degrés), il change de cap et propulse sa vitesse maximale vers le point qui l’intéresse. Il a sa vérité, qui comprend et observe la loi naturelle.
Plus fascinant, considérons le delphinidé pouvant voir au-delà de la chair et du sang, tout au fond des noyaux cellulaires, le rythme de vitalité profonde de l’être vivant quel qu’il soit.
Mon peu de connaissances sur la fréquence vibratoire ne me permet pas de préciser ce qui se passe à l’intérieur de nos cellules. Toutefois, il me semble que l’énergie vitale s’énonce comme la véritable nature de l’esprit et du corps de tous les êtres vivants au niveau cellulaire.
Le cerveau du delphinidé est un univers entier aux reflets changeants. Nous savons déjà que pour notre espèce et celles d’autres animaux non-humains, les neurones miroirs sont essentiels pour déchiffrer les intentions et émotions d’autrui. Ce type spécial de cellules favorise chez le dauphin de bonnes capacités d’imitations et d’apprentissage.
Intéressons-nous quelques instants aux neurones de Von ACONOMO ( NVE). Il est scientifiquement constaté que l’être humain et les grand singe, cétacés et éléphants possèdent des cellules cérébrales en forme de fuseau. Les cellules interagissent dans la partie du cerveau qui canalise en réseaux des milliers de milliards de sensations, désirs et pensées. Bien des états émotionnels du dauphin restent à définir précisément. La notion de gratitude par exemple.
Est-il possible que le delphinidé éprouve un mélange de bienveillance neutre avec de tenaces dissentiments, quand il interprète l’orgueil et l’arrogance de certains humains ?
Sans doute également pour le peu d’intelligence de certains…mais aussi (mais pas toujours) pour des choses insaisissables que nous humains ne comprenons pas.
La règle d’objectivité de la démarche scientifique est restrictive en ce qui concerne l’étude des émotions non humaines. Serons-nous témoins dans le futur d’une inquisition scientifique ? Pitoyable humanité(sic), il n’est pas inutile d’y réfléchir .
Observons qu’il est tout à fait possible que le dauphin soit réceptif aux lignes magnétiques. On peut présumer que les altérations du champ magnétique terrestre, mais surtout la pollution sonore des habitants de la surface, soit à l'origine des échouements de cétacés.
Il existe tout un monde de son autour de nous qui nous est inconnu. La résonance d'infra-basse a une fréquence inférieure de 20 Hz, inaudible pour l'humain.
Incontestablement, certaines espèces animales ont une perception des sons surdéveloppée.
Il existe des preuves tout à fait fascinantes de cette possibilité avec le sonar du dauphin.
Ce n'est pas tout : Il est concevable qu'il soit caché dans le delphinidé une particularité physiologique, ayant trait au viol psychique de nos pensées les plus secrètes. Au dauphin seul, la nature a fait ce don d'amitié désintéressée.
Si nous pouvions entrer dans son esprit, nous apprendrions tellement de choses…
Mes sincères remerciements tout particulièrement au DR. DIANA REISS ainsi qu’à l’association TERRE-MARINE, pour leur soutien et dévouement.