L'informazione non è un optional, ma è una delle condizioni essenziali dell'esistenza dell'umanità. La lotta per la sopravvivenza, biologica e sociale, è una lotta per ottenere informazioni.

Environment (78)

Nunzio Ingiusto

                                                                                                                                                                         contatto

 

Di buone intenzioni è lastricata la via dell’inferno, dice il proverbio. Qualche volta è proprio cosi’. La polemica sugli investimenti per la mobilità sostenibile del governo Draghi sta mettendo i Verdi italiani in una posizione scomoda. 16 miliardi di euro per bus non inquinanti, metropolitane, treni a idrogeno e ciclovie non sarebbero sufficienti a riorganizzare i futuri spostamenti degli italiani. Secondo il portavoce di Europa Verde Angelo Bonelli quelle del Ministero retto da Enrico Giovannini sarebbero, per l’appunto, più o meno, solo buone intenzioni. E i soldi a disposizione addirittura irrisori. La polemica - che per ora non ha toccato altri partiti della maggioranza di governo- si svolge sul quotidiano La Stampa. Sul giornale torinese, Bonelli ha attaccato le scelte del governo e di Giovannini in particolare. L’esponente dei Verdi ha parlato anche di acqua e delle falle nella rete idrica italiana, da sistemare. Interventi non soddisfacenti che vanno ad incidere su temi critici da anni. Giovannini non è rimasto in silenzio ed ha risposto nel dettaglio alle osservazioni del leader Verde. Una lista di cose da fare, utile per capire in che direzione si sta muovendo il governo contro il “benaltrismo tipico della dialettica politica del nostro Paese” scrive il Ministro. 16 miliardi di euro è la cifra che Giovannini espone nella sua replica e che interessa tutto il sistema della mobilità. Cifra che sale a 19 miliardi - da spendere nei prossimi cinque anni- se si mettono insieme Pnrr, Fondo complementare e Legge di Bilancio. Possibile che Bonelli, politico stimato ed esperto, non lo sappia? E’ solo vis polemica in un momento cosiì delicato? Agli stanziamenti di cui sopra vanno aggiunte anche altre risorse ordinarie e gli investimenti dei privati. Qualcuno ha fatto meglio in passato? Per la prima volta - spiega Giovannini- siamo davanti ad “un investimento mai compiuto dal nostro Paese, con una quota molto elevata destinata al Sud”. A questo punto vengono fuori le cifre.

 

Il Pnrr e il Fondo complementare destinano quasi 9 miliardi per autobus green, ciclovie urbane e turistiche, metropolitane, tramvie, rinnovo treni regionali e intercity, sperimentazione di treni a idrogeno. A questi soldi si sommano 3,7 per le metropolitane nei grandi centri urbani, 1 miliardo per il trasporto rapido di massa, 2 miliardi per la mobilità inseriti nella Legge di Bilancio. “Inoltre-aggiunge il Ministro- per la prima volta da dieci anni a questa parte viene aumentato il fondo per il trasporto pubblico locale”. La futura mobilità connoterà il modo di vivere e spostarsi degli italiani verso gli standard sostenibili delle maggiori città europee. Ma l’Italia deve pensare anche al Sud dove il gap tecnologico ed infrastrutturale (già no green) è alto. Le ferrovie, altro esempio del Ministro, assorbiranno   risorse per alcune decine di miliardi fino al 2030, anno cardine per la decarbonizzazione e l’abbattimento della CO2. A fare da scudo c’è anche il "Documento strategico sulla mobilità ferroviaria" con altri 5,5 miliardi per l'elettrificazione di linee regionali e il miglioramento delle stazioni. Non va trascurato, infine, nemmeno l’abbandono entro il 2023 di tutti gli autobus euro 1-2-3. e che lo Stato non finanzierà più l'acquisto di mezzi diesel. I Verdi vorrebbero più investimenti e gli va dato atto di sensibilità e visione ambientali lungimiranti. Ma con il governo Draghi ci siamo trovati tutti solo un poco più avanti dei nastri di partenza. Gli interventi di cui il Paese ha bisogno andavano fatti molti anni fa. Recriminare non serve, anche perché i piani di oggi (sempre migliorabili, ovvio) e che l’Ue ha approvato rispettano le più recenti indicazioni dell’Ue stessa. Entro il 2040 bisognerà costruire 9 grandi corridoi europei di trasporto sostenibile ed entro il 2025 le reti Ten-T (Trans-European Transport Network) dovranno adottare piani per la mobilità a zero emissioni, trasporto pubblico, ciclovie e itinerari pedonali. L’Italia non puo’ restare fuori da queste scelte se non per una malaugurata visione di corto respiro. Avere 16/19 miliardi da spendere nei prossimi cinque anni è l’esame più difficile da superare. Per il governo, ma anche per chi dimostra di non essere contro, a prescindere.

Plus j’y réfléchis...plus cela m’inquiète...

LA NUIT SEMBLE INFINIE. Des organismes parasites très agressifs, appelés homo sapiens destructeurs assouvissent leurs pulsions destructrices sur la surface du globe terrestre.
La maladie de leurs idées est une perversion mentale où la morale y est absente.
Ils sont un concentré de ce qu’il y a de plus néfaste sur terre.
Ces prédateurs sont plus que jamais déterminés à tout sacrifier sur l’autel du profit, même leur propre espèce.
Le 21 ème siècle est devenu l’ère du profit, de la surconsommation et de ce fait, du gaspillage, faisant de ce siècle de découvertes, d’avancement et d’une certaine évolution, un gâchis inqualifiable contraire à toutes éthiques. Ainsi, gangrénant par la même occasion l’existence des autres espèces en massacrant leur environnement, par le pillage et son extermination. Tout ceci au nom du plus offrant et du profit.
Comparables à d’authentiques sociopathes, ils se pensent dispensés de toutes punitions de la justice.
Assoiffés de profits, meurtriers, narcotrafiquants, criminels sexuel, mafieux, etc...avec eux l’évasion fiscale se porte à merveille.
La misère sociale tue. Loin des yeux du fisc ou d’interpol, rien n’a vraiment changé. Anonymat total 100% garanti et taxation à 0%.
Montants colossaux d’argent sale. Immeubles boîtes aux lettres de structures offshore implantés un peu partout. Trou noir financier où l’argent disparaît.
Notre planète se dépeuple de ses animaux sauvages, tandis que les industries polluantes se développent toujours plus rapidement. En principe ces parasites ne parlent jamais ou extrêmement rarement aux journalistes. Quand ils le font, ce n’est que dans le seul et unique but d’exposer leurs macabres exploits. Quelles solutions concrètes pour endiguer tout ceci ?
Payer des impôts est un mal nécessaire contrairement à la destruction accélérée du vivant.
Autrefois la nature était magnifique et proliférante, la biodiversité abondante mais à présent, elle est en péril au profit de certains individus sans scrupule ni conscience, qui satisfont leurs plaisirs macabres et exterminateurs sur des espèces censées être protégées. Ils tuent des espèces dites sauvages pour leur unique plaisir de dépenser leur argent gagné salement. Je dis “dites sauvages” car en finalité les sauvages se sont ces parasites sans humanité.
Nous voyons de plus en plus des espèces d’animaux différentes s’aider face à un prédateur mais que peuvent-ils faire face à un fusil où à je ne sais quelle arme utilisée contre eux par ces chasseurs de sensations fortes sans âme ni conscience ?
Arrivera le jour où ces animaux et la nature se retourneront contre l’humain et mon plus grand regret est celui de ne pas pouvoir être là pour admirer cet instant inespéré.
Le Safari international Club continue de promouvoir les chasseurs de trophées, comme le font certains cabinets d’avocats d’affaires qui continuent à protéger et défendre les criminels qui ont les moyens financiers de les payer. Encore et toujours le profit qui prime sur toute moralité.

Assoiffé de reconnaissance, le chasseur de trophées éprouvera une satisfaction toute particulière à exhiber le dernier animal qu’il vient d’exterminer de sang-froid. Se pavaner au volant de sa dernière voiture de luxe ne lui suffit, alors il passe à la tuerie d’animaux et l’étape suivante ce sera quoi ? La chasse à l’homme ?
Malgré des preuves scientifiques irréfutables selon lesquelles les animaux éprouvent des émotions, ont une vie sociale complexe et sont intelligents. Les femelles enceintes sont mutilées, égorgées et éventrées.
Ce sport prospère au Canada, Afrique du sud, Zimbabwe, etc...
Malheureusement tout ceci est légal dans bien trop de pays et à l’heure actuelle comme les populations de lions en Tanzanie, bien trop d’espèces d’animaux sauvages sont en péril et voir même en voie d’extinction.
Le “jeu de la mort” pour des paris élevés semble très amusant.
Pointer son fusil sur un homo sapiens destructeur, appuyer sur la détente et faire exploser sa cervelle en miette. Serait-ce amusant aussi ?
Un homme dans la ligne de mire d’un autre homme pour le plaisir de le chasser, vous en pensez quoi ?
Que c’est immoral ? Mais dans ce cas pourquoi ces personnes en recherche de frissons, s’accordent le droit de le faire aux animaux. IL serait temps d’agir et de protéger la vie de ces espèces vivantes au même titre que l’on protège celle des homos sapiens.
Malheureusement, plus j’y pense et plus je me rends à l’évidence que l’homo sapiens est incapable de ne pas détruire, piller ou tuer et cela m’inquiète d’autant plus quand je constate la facilité avec laquelle ils s’accordent tous les droits sur les autres espèces.
Alors oui ! Oui à la chasse aux chasseurs, aux braconniers, aux assassins, ces homos sapiens qui n’ont aucune conscience envers les autres. Pourquoi devrait-on en avoir pour eux ?
Nous, ceux que ces atrocités dérangent, sous prétexte que nous manquons de moyens financiers. Qu’il est plus facile et moins coûteux de condamner un groupe de personnes qui saccage un local pour libérer des animaux que de dire “coupable” à un braconnier qui aura les moyens de payer et corrompre ; devons-nous nous contenter d’attendre et d’espérer que vienne enfin ce jour où, la nature et les animaux se retournent contre l’humain ?
Avertissement...Pardonnez mon excès de prétention, cet article ne prétend aucunement détenir la vérité, tout simplement il la cherche.
Il n’est pas toujours certain que le système traite les gens et la planète comme des déchets. Mais on ne peut pas nier l’évidence : aucun véritable progrès n’a été obtenu.
Les parasites de la terre ont créé des abus environnementaux, économiques, sociaux et familiaux. Ce qui n'est pas franchement le signe d’une intelligence supérieure.
Vous savez, la vie n’est pas uniquement abjecte et sordide. Je crois sincèrement que la joie et l’espoir existent aussi.
Pour atteindre les objectifs d’amélioration des conditions de l’existence des citoyens, ainsi que celles des animaux terrestres, des animaux qui volent dans le ciel et ceux qui vivent sous les mers, il faut un optimisme absolu pour triompher de l’adversité.
Une société saine se doit de maitriser, améliorer, et apaiser certains humains dans l’excès minimal. Pour aller plus loin, au-delà de la frontière du bien et du mal, il est probable que de grandes avancées seront faites dans le contrôle du comportement humain.
Le problème du contrôle du comportement humain est essentiellement un problème neuronal, hormonal et moléculaire complexe. Pour essayer de parvenir à un monde meilleur, il est permis d’imaginer la prise de contrôle par une intelligence artificielle évolutive, l’esprit civique, qui façonnera les traits neuronaux des délinquants qui auront par la suite nécessairement envie de vivre dans un état de conscience raisonnée.
Sous les auspices de l’intelligence artificielle, pas de confiscation du libre arbitre de chacun de nous, mais plutôt un outil pour mieux se conduire, moins produire, moins se reproduire pour moins gaspiller. Dans les temps à venir, une police écologique, affiliée à aucune nation, protégera les victimes animales les plus oubliées du monde de nos tendances destructrices.
Dans cette société vertueuse d’appréciation de l’esprit civique, l’honorable chemin de vie sera fondé sur l’engagement sans limites pour la préservation de la nature. Ce dont la société a urgemment besoin c’est de solutions énergétiques qui nous rendent autosuffisants, mais qui soient aussi saines et naturelles, qui expriment et qui aident et qui soient en harmonie avec la nature.
Pleinement optimale et raffinée, l’I.A sera au service de la vérité, la protection et la justice.
Une assemblée naturelle sera chargée de représenter les intérêts du vivant animal et végétal.
Un revenu universel et plafonné sera instauré.
La symphonie de la nature vivante et non vivante, sera célébrée, mêlant habilement la poésie sonore que constitue les voix de la nature, à la fraicheur de la jeunesse.
Pour que cette société puisse être envisagée, il faudra sans aucun doute effectuer un bond dans l’évolution de la neuroscience du comportement et c’est ce qui fera basculer les comportements les plus récalcitrants.
Cette aventure spirituelle et technologique arrivée à son apogée sera l’élan évolutif décisif pour nous.
Nous qui gérons encore bien mal nos émotions cérébrales et affectives, espèce mineure piégée, vivant à l’autre bout de l’univers. Loin de tout.

A Glasgow si discute di clima, inquinamento, CO2 e non è chiaro dove si andrà a parare alla fine del summit, tra dieci giorni. Le assenze dei leader delle potenze che inquinano di più si fanno sentire. L'Europa - nonostante le sue contraddizioni interne- intanto cerca di andare avanti con certificazioni ecologiche sui prodotti industriali. L'ultima decisione della Commissione riguarda nuovi criteri del marchio di qualità Ecolabel. E' stato esteso, infatti, ai prodotti e cosmetici per la cura degli animali, nell'ottica della transizione green. Diciamo che si tratta di due settori di grande mercato che non conosce crisi. Ecolabel è un pezzo non piccolo della transizione verde europea e la sua applicazione non è cogente.I commissari dovrebbero, viceversa, imprimere un'accelerazione per strutturare il marchio su una gamma più ampia, obbligatoria. Oggi le aziende usano l'etichettatura per concorrere sul mercato europeo in maniera sostenibile rispetto a chi non fa questa scelta.

Inquinamento zero spesso diventa una parola vuota. In particolare quando l'industria per interesse e bassi investimenti non se ne fa carico. Le imprese, dunque, stimolano a marchiare i loro prodotti con standard sostenibili, vanno. “Esorto le imprese a richiedere il marchio di qualità ecologica dell'UE ea beneficiare della sua reputazione. L'Ecolabel UE permette di indirizzare i consumatori verso verso affidabili e certificati, e prodotti certificati la transizione ecologici a un'economia pulita e circolare”. Con questo appello di Virginijus Sinkevicius, Commissario per l'Ambiente, gli oceani e la pesca parte, dunque, una nuova sfida green, limitata, tra i 27.


Il passo avanti ha comunque il suo valore commerciale, dato che il marchio prima d'ora veniva applicato ad una gamma limitata di prodotti: gel doccia, shampoo o balsami. L'allargamento interessa una lunga lista di confezioni per la pelle, i cosiddetti “da non sciacquare” riporta l'Agenzia Aise . Per quelli per curaro gli animali domestici il marchio viene rilasciato a trattamenti che fanno uso di acqua corrente. Ecolabel è stato creato nel 1992 e la sua estensione progressiva ha coinvolto migliaia di aziende.La richiesta è libera, come si diceva, ma ricorda l'Ispra italiano “ è un'etichetta ecologica volontaria basata su un sistema di criteri selettivi, definito su base scientifica, che tiene conto degli impatti ambientali dei prodotti o servizi lungo l'intero ciclo di vita ed è sottoposta a certificazione da parte di un ente indipendente”.

“È vero, lo ha detto la Tv”. Il vecchio adagio da tempo non è più di moda. L’informazione televisiva è cambiata. In peggio si dice , quasi sempre. Senza comprendere, però,   le ragioni che hanno prodotto un sistema informativo fatto di parole ed immagini spesso poco credibili. Con le seconde speculari alle prime per diffondere contenuti poco obiettivi. È lontano il tempo in cui gli italiani guardavano solo la Rai.

“È vero, lo ha detto la Tv” è franato sotto i colpi di eventi epocali. Fatti dove la realtà e lo sviluppo di quegli accadimenti contraddicevano la narrazione di reporter e commentatori. Anche famosi, ma alla distanza poco scrupolosi. All’informazione scritta e on line è andata anche peggio. Un esempio ? L’informazione ambientale. Un settore non più per pochi eletti , diventato globale e di grande attenzione. Si ha gioco facile a raccontare fenomeni come lo scioglimento dei ghiacciai, alluvioni, tornado, manifestazioni per il clima, proposte politiche. Sono lì davanti e parlano da soli. Ma perché accadono ? Da cosa derivano? Chi ha studiato cosa? Le cause, le premesse scientifiche da cui scaturiscono quegli eventi non vengono mai indagati a fondo. Di giornalisti bravi ce ne sono, eccome. Ma l’approfondimento correlato al racconto è raro. Costa tempo e sacrificio per cui si è più tranquilli se si “sta sulla notizia” senza troppe analisi. E poi in redazione il servizio è di tizio o caio che differenza fa ? La professionalità confinata in soffitte a doppia mandata. Tanto se abbiamo voglia ci rivolgiamo allo scienziato esperto a cui rivolgeremo domande che avremmo dovuto farcele noi prima. La Co2 nell’ambiente, la faglia terrestre, le polveri sottili, la fissione nucleare e via consultando.

Il retaggio di un vecchio modo di informare, in questo caso ha fatto posto alla ripetizione di un pianeta che va alla rovina solo per mano dell’uomo. Inesorabile colpa di generazioni che credevano di progredire mentre, invece, distruggevano le strade su cui camminavano. È davvero così ? Vedere, ascoltare o leggere per capire è una necessità universale. Ma in una narrazione conformista (si può dire?) il cittadino diventa vittima e carnefice del disfacimento planetario. Che informazione è ? Un giornalista che tratta simili temi ha il dovere della ricerca, degli studi, della verifica su più livelli delle notizie. Deve saper distinguere cause ed effetti, successi e sconfitte, buoni e cattivi esempi, fonti autorevoli e patacche. Si è cronisti sempre, ci insegnavano nelle vecchie redazioni. Intendevano dirci, i buoni maestri, che il “prodotto” da offrire deve essere completo e senza partigianerie. Il resto lo fa l’audience o l’edicola.

L’informazione ambientale è un settore fondamentale della nostra vita. Tocca ogni aspetto della quotidianità: dal traffico, allo smog, al caldo, alle bollette, alla salute. Comprendere per chi scrive e spiegare a chi vede o legge le cause di simili situazioni, in fondo é la ragione per la quale si sta dentro il mondo della comunicazione. Bisogna saperci stare e non dipende dagli editori o dai direttori. Ognuno di noi dovrebbe ricordarselo. Armeggiamo strumenti potentissimi che possono provocare danni immateriali. Se li mettiamo con quelli climatici, poi…..

Per gentile concessione della testata “Tutti Europa Venti Trenta”

 

Traduzione dell'articolo:

https://www.theepochtimes.com/mkt_morningbrief/statistical-method-used-to-link-climate-change-to-greenhouse-gases-challenged_3983949.html

 

Un nuovo studio su "Climate Dynamics" ha criticato una metodologia chiave che il Gruppo intergovernativo di esperti scientifici sui cambiamenti climatici
(IPCC) utilizza per attribuire il cambiamento climatico ai gas serra, sollevando interrogativi sulla validità della ricerca che si è basata su di essa e sollecitando una risposta da uno degli scienziati che hanno sviluppato la tecnica.

L'autore del nuovo studio, l'economista Ross McKitrick, ha dichiarato a The Epoch Times in un'intervista esclusiva che pensa che i suoi risultati hanno indebolito la tesi dell'IPCC secondo cui i gas serra causano il cambiamento climatico.

La metodologia, nota come "impronta digitale ottimale", è stata utilizzata per collegare i gas serra a qualsiasi cosa, dalla temperatura agli incendi boschivi, dalle precipitazioni, al manto nevoso.

McKitrick ha confrontato la tecnica delle impronte digitali ottimali, con il modo con cui le forze dell'ordine utilizzano le impronte digitali per identificare i criminali.

"[Loro] prendono questo pacchetto di dati e dicono: “Si, qui ci sono le impronte digitali dei gas serra'", ha affermato.

McKitrick ha detto poi che la ricerca sulle impronte digitali ottimale, da lui criticata, il saggio del 1999 del Climate Dynamics "Checking for model consistency in optimal fingerprinting", è una pietra angolare nel campo di attribuzione - il ramo della scienza del clima focalizzato sulla identificazione delle cause del cambiamento climatico.

Ma secondo McKitrick, gli autori di quel documento, Myles Allen e Simon Tett, hanno commesso degli errori nei passaggi necessari per convalidare la loro strategia.

"Quando si esegue un'analisi statistica, non è sufficiente sgranocchiare certi numeri, pubblicare il risultato e dire: “Questo è ciò che i dati ci dicono.” Devi poi applicare alcuni test alla tua tecnica di modellazione, per vedere se è valida per il tipo di dati che stai usando”.

“Essi avrebbero rivendicato il fatto che il loro modello supererebbe tutti i test pertinenti, ma ci sono un paio di problemi con quella affermazione. Il primo è che hanno stabilito delle condizioni errate - hanno omesso di inserire nei test la maggior parte delle condizioni rilevanti che dovresti testare - e poi hanno propinato una metodologia per il test che è completamente disinformativa. In realtà non è di fatto connesso a nessun metodo standard di testing."

La loro struttura teorica, ha detto McKitrick, ha nei presupposti il fatto che una parte importante del cambiamento climatico debba essere attribuibile ai gas serra, quindi usare tale presupposto per dimostrare che i gas serra portano al cambiamento climatico è semplicemente assurdo.

"Se dipendi dai dati del modello climatico per costruire il test, e il modello climatico incorpora già le ipotesi sul ruolo dei gas serra”, prosegue McKitrick, nel suo ragionamento "non puoi rilasciare questa supposizione." (non puoi determinare questa inferenza nel discorso: è assurdo)

McKitrick, che ha spiegato i suoi risultati in modo più dettagliato sul sito JudithCurry.com, ha affermato che l'attribuzione del clima da parte dell'IPCC ai gas serra, si basa in gran parte sul documento su riportato del 1999 o su ricerche ad esso strettamente correlate.

Myles Allen, coautore dell'articolo del 1999 McKitrick contestato, ha risposto all'articolo di McKitrick in una e-mail a The Epoch Times.

"Affrontare completamente le questioni sollevate da questo documento potrebbe aver fatto qualche differenza nelle conclusioni riguardanti l'influenza umana sul clima, quando il segnale era ancora piuttosto debole 20 anni fa", ha detto Allen.

Ha detto che il segnale ora è molto più forte, sia che si usi la sua tecnica del 1999 o il metodo più semplice impiegato su GlobalWarmingIndex.org. Ha anche affermato che i metodi più recenti, incluso uno nel suo documento del 2003, hanno sostituito il metodo dal 1999.

Andarci un po' più a cuor leggero (in questa situazione), fa sentire un pò come se qualcuno ti suggerisse di smettere di guidare perché è stato sollevato un nuovo problema identificato sulla Ford modello T", ha detto Allen.

McKitrick ha risposto all'argomentazione di Allen in una e-mail: “Anche se fosse vero che [il metodo di Allen] non è più utilizzato e le persone sono passati ad altri metodi, [data] la sua importanza storica, sarebbe ancora necessaria come questione scientifica per Simon
e Myles, sia nell'ammettere che il loro articolo contiene errori che per confutare le critiche specifiche.

“E la realtà è che la “professione del clima” non è andata più avanti. L'IPCC discute ancora il metodo delle Impronte Ottimali nel AR6 (il 6° Rapporto sul Clima) e si basa su molti studi che lo utilizzano.”

Mentre Allen sosteneva che il suo articolo successivo del 2003 aveva sostituito il suo articolo del 1999, McKitrick rispondeva che l'articolo del 2003, insieme con altri metodi più recenti che Allen ha identificato, "ha tutti gli stessi identici problemi".

McKitrick ha anche sostenuto che il metodo indicato su GlobalWarmingIndex.org potrebbe avere gli stessi problemi del documento di Allen del 1999, in gran parte perché entrambi gli studi citano uno studio del 1997 di Klaus Hasselmann, che, ha detto McKitrick, propone lo stesso metodo!

"Così, per gli stessi esempi proposti da Myles, AT99 è ancora centrale nella letteratura sull'attribuzione", ha detto McKitrick.

Allen ha sostenuto che le critiche di McKitrick al suo uso di un modello climatico sono fuorvianti, poiché il suo metodo del 1999 potrebbe effettivamente essere "eccessivamente
conservatore” nell'attribuire il cambiamento climatico all'influenza umana.

Secondo Allen, i modelli climatici standard possono produrre risultati in cui la quantità di "rumore" statistico, e quindi l'incertezza, è esagerato.

Questa confutazione, ha detto McKitrick, "non affronta il problema centrale che ho sottolineato", che ha a che fare con la verifica degli errori nei loro test sulle impronte digitali.

Allen e McKitrick si sono anche confrontati su uno specifico test statistico nel documento del 1999, con Allen che ha affermato che McKitrick aveva molto sopravvalutato la sua importanza e McKitrick ha ribattuto che è l'unico test di questo tipo che i ricercatori hanno utilizzato in questo contesto.

Il ricercatore Aurélien Ribes, i cui articoli erano tra quelli che secondo Allen avevano sostituito la ricerca del 1999, ha rifiutato di commentare dettagliatamente il giornale in un'e-mail a The Epoch Times, anche se ha detto di aver guardato un precedenteversione di esso.
"Non mi aspetto un impatto molto grande in termini di risultati di attribuzione", ha affermato Ribes, ricercatore sul cambiamento climatico presso la Francia
Centro nazionale per le ricerche meteorologiche.
Ha detto che alcune delle sue ricerche non dipendevano dalle impronte digitali. Ha anche detto che alcuni risultati di attribuzione, come quello sulla temperatura media globale, sono "molto robusti".

Ma un altro esperto, Richard Tol, crede che molte delle critiche di McKitrick centrino il bersaglio.
"McKitrick ha ragione", ha detto Tol, professore di economia all'Università del Sussex e professore di economia del clima alla Vrije Universiteit Amsterdam, in un'e-mail a The Epoch Times.

Tol ha affermato che il tentativo di Allen e Tett di affrontare un problema statistico diffuso aveva "peggiorato le cose, e non migliorate".

"Per completare il tutto, molte persone da allora hanno utilizzato il metodo proposto da Allen & Tett", ha affermato.

“Le implicazioni non sono chiare. Molti dei documenti che utilizzano il metodo delle impronte digitali, per rilevare l'impatto del cambiamento climatico, sono semplicemente sbagliati.”

“Ciò non significa che il cambiamento climatico non sia reale o che i suoi effetti non possano essere attribuiti alle emissioni di gas serra. Esso significa che molti dei documenti che hanno fatto tali affermazioni dovranno essere rifatti”.

 

Traduzione di Francesco Piro

Molte risposte sono già, tutte, alla luce del sole.
Chi legge non potrà aver colto, ma nella frase di cui sopra, ci sarebbe una sorta di doppio senso: verrà rivelato al buon lettore, se avrà la pazienza di giungere in fondo a questo articolo.
Una risposta alla luce del sole, per esempio, la si trova su http://www.srmgi.org.
E' il sito web del Solar Radiation Management Initiative, una pagina internet di una certa rilevanza, le cui attività vedono la partecipazione, dichiarata (organizzazioni partner), di numerose istituzioni, con cui si vuole diffondere e raccogliere consenso, sul controverso tema dello “schermo solare”.
Domandiamoci ora, cosa sia mai questo “schermo solare”.

L'attività di gestione dello schermo solare - prendo ora le parole dal sito - è “un approccio teorico alla riduzione di alcuni impatti dei cambiamenti climatici, riflettendo una piccola quantità di luce solare in ingresso nello spazio”.
Quindi, lo schermo solare, non è altro che QUELLO CHE rifletterebbe la piccola quantità di luce solare.
Per finirla con le inferenze, cosa si potrebbe usare mai per riflettere “la piccola quantità di luce”? Pensateci, con calma.
Nel frattempo, aggiungendo un pochino nel sito srmgi.org, scopriamo che le sue attività sono sostenute da una lunga lista di “stakeholders”, cioè portatori di interessi.
L'Italia ne ha ben due: l'InterAcademy Panel e l'ente italiano aderente a The World Academy of Sciences, con peso specifico differente fra i due.
Continua, la spiegazione, ipocrita, del Solar Radiation: “L'SRM ha il potenziale per ridurre alcuni effetti dei cambiamenti climatici ma potrebbe anche essere molto rischioso. Nel complesso, non è chiaro se sarebbe utile o dannoso . Una cosa è chiara: molti paesi in via di sviluppo potrebbero guadagnare o perdere molto se l'SRM fosse mai schierato . Nonostante questo, la maggior parte delle ricerche e discussioni sull'SRM si sono svolte nei paesi sviluppati. "

Perché dico ipocrita?
Punto 1) nel virgolettato di cui sopra viene usato il condizionale, quando oramai sono oltre due decenni che si fanno queste “ricerche”.
Si legga in proposito, a conferma di quanto scrivo, questo articolo
http://www.informarmy.net/2011/04/scie-chimiche-haarp-l-del-dominio/ ed il correlato video dei fratelli Gambino, sugli albori dell 'era del rilascio di particolato in atmosfera. (purtroppo, al momento, il video è stato cancellato dal web.. )
Punto 2) Mentre le ricerche si dovrebbero effettuare in laboratori appositi, ben separati dalla realtà circostante, in ambiente controllato, in realtà, le irrorazioni di materiale igroscopico ed elettro¬ conduttivo, sono state fatte, e presto ad essere eseguito “in esterni”, nel, di proprietà di tutti.
D'altra parte c'è una evidentissima ragione per cui i cieli, di venti o dieci anni fa, erano diversi, ed oggi, quasi sempre sono coperti da una riconoscibile coltre biancastra e lattiginosa, rilasciata dalla scie degli aerei che, dopo alcuni minuti, si trasformano, come detto, in matassa.
Basterebbe osservarle con attenzione, naso rivolto al cielo, per prenderne atto una volta per tutte. Per evitare però che ci si debba limitare a questo, il documentario “What in the World Are They Spraying?” (di cui al link https://www.youtube.com/watch?v=if0khstYDLA), spiega ed evidenzia bene tutto, punto per punto.
Punto 3) Le ricerche e le discussioni sono state fatte in tutto il mondo, e non solo nei paesi sviluppati: ad esempio, le grandi (e ripetute) super-alluvioni delle Filippine parlano da sole, ed è uno dei motivi per cui il signor Duterte ce l'ha a morte con gli americani, i quali si sono permessi, ripetutamente, di schierare (ed usare) dei “riscaldatori ionosferici mobili” a largo di Manila.
E non per caso.

Per completare l'analisi del virgolettato di cui sopra, non ci dobbiamo far mancare di riporre attenzione sul concetto che molti paesi potrebbero guadagnare o perdere molto.
Insomma, qui si sta affermando, apertamente, che i rischi e le variabili sono tali che “o va bene o va male, si fa testa o croce!”
Alla faccia della scienza, insomma!
Tornando a quanto detto in principio, ecco perchè la risposta circa l'esistenza (e l'operatività) dello schermo solare, è già tutta alla luce del sole.
Sole schermato, s'intende..
Tutto chiaro adesso?
Può bastare il fatto che siano proprio le istituzioni mondiali a lanciare il sasso del difficile compito di riallineare la realtà, vera, operante, delle cosiddette scie chimiche e del controllo climatico, con quella narrata dalla “tell-lie-vision”, ogni giorno?
Eppure è quello che sta accadendo e che si può leggere non solo e non più fra le righe, ma proprio sulle righe.
(Naturalmente questo è riservato a chi si prenda la briga di voler capire la verità, facendo lo sforzo di leggere e farsi un'idea di prima mano.)
Il srmgi.org è un modo elegante, diplomatico, istituzionale e defilato, se vogliamo, di dire alla gente: guardate che sono decenni che stiamo modificando il clima alle vostre spalle, ora ve lo vorremmo dire chiaramente, perchè sappiamo che le pressioni di chi vuole la verità in proposito sono sempre più forti e non le possiamo contenere ulteriormente. Potreste gentilmente prenderne atto, senza per questo mettere a ferro e fuoco i nostri laboratori, consci del fatto che il nostro, in fondo, era ed è un intento (e questo è falso) di mera ricerca e di aiuto alle cause dell'umanità?


Per concludere, ho trascritto qui sotto, in italiano, la posizione di Bill Hare, circa le attività poste in essere - ogni giorno - dal Solar Radiation Management, nel video di Youtube comparso il 5 dicembre scorso sull'argomento. https://youtu.be/qCrle7lrsCU
Buona lettura, buon video, e buon approfondimento della vera realtà dei fatti.
Bill Hare è un fisico e scienziato del clima con 30 anni di esperienza in scienze, impatti e risposte politiche ai cambiamenti climatici e alla riduzione dell'ozono stratosferico. È fondatore e CEO di Climate Analytics, che è stato creato per sintetizzare e far progredire le conoscenze scientifiche sui cambiamenti climatici e fornire soluzioni all'avanguardia alle sfide politiche globali e nazionali in materia di cambiamenti climatici http://climateanalytics.org/about-us/team/bill-hare.html
“Io credo che, d'accordo con molti fisici che si sono interessati a questa “Gestione dello schermo solare ”, si tratti di una tecnologia molto dannosa.
In molti modi essa stessa costituisce una pericolosa interferenza con il sistema climatico.
Ritengo che questa sorta di esperimenti, che poi si traducono in politiche vere e proprie, sono profondamente inique e di nessun aiuto.
Credo che c'è una grande incertezza, circa gli effetti delle tecnologie di gestione dello schermo solare.
Non comprendiamo l'impatto che ha su larga scala sui monsoni, sulle precipitazioni, i regimi delle piogge.
Ciò che comprendiamo, al suo proposito, ci dice che dobbiamo essere molto preoccupati che queste tecnologie possano provocare danni ulteriori, in differenti regioni.
Ciò di cui io sono inoltre preoccupato, è il modo in cui questa Gestione della tecnologia dello schermo solare, come branca della geo-ingegneria, sia stata aggressivamente spinta in questi tempi.
E' un vero per me ed una colpa, ed un elemento pesantissimo di discredito, a carico di chi
lo sta compiendo, poiché siamo nel momento esatto in cui stiamo assistendo a cambiamenti fondamentali nel sistema (planetario) dell'energia.
Nei loro pamhlets, brochures, letture e discussioni, sostengono che la mitigazione (d'altro genere proposto) abbia fallito e di conseguenza, bisogna guardare a queste tecnologie molto pericolose con grande circospezione.
Io credo che (esse siano) un grave errore.


Francesco Piro

Tra gli appuntamenti clou confronto internazionale su cambiamenti climatici alimentazione e Paesi in via di sviluppo.

Il clima e va bene. Poi le energie rinnovabili, la crescita, ma anche il cibo. Il G20 di Napoli - 22/23 luglio - si misura anche con l'alimentazione. Con la lunga catena agroalimentare che coinvolge il mondo intero ed è diventata centrale nelle politiche di transizione ecologica . È noto che senza un nuovo equilibrio tra natura,consumi,sviluppo,nessun progetto ecosostenibile potrà avere successo. Stiamo davvero andando in questa direzione? A vedere le contestazioni contro l’usi dei pesticidi, delle tecniche agricole e degli interessi delle Big Pharma non si direbbe.Eppure l’occasione di Napoli è ghiotta.

Su iniziativa del Future Food Institute ecco tre eventi tra Napoli e Pollica (Salerno) nei giorni del summit. Pollica, nota a livello internazionale come capitale della dieta mediterranea,città del sindaco Pescatore Angelo Vassallo ucciso per mano ancora ignota,si riappropria di antiche tradizioni alimentari, da mezzo secolo studiate nelle migliori Università.

Dal 22 luglio in partenariato con Città della Scienza si svolgeranno eventi per indagare le relazioni tra cibo e ambiente,promuovere lo sviluppo sostenibile a livello mondiale e dimostrare l’impegno della scienza per ridurre impatti sull’ambiente.Le iniziative sono parte di Food For Earth,il progetto internazionale che vede in campo anche la Fao.La leva promozionale e scientifica del Future Food Institute, in occasione dei vertici internazionali si sta rivelando di tutto interesse per imboccare una strada con minori disparità verso i Paesi in via di sviluppo. I maggiori punti di attenzione riguardano la sensibilità dei politici e dei manager della grande industria. Quanta è radicata la sensibilità di non voltarsi dall'altra parte dinanzi a movimenti epocali? Davanti a migrazioni mosse da fame,calamità naturali,sottosviluppo?

A Napoli e a Pollica ci saranno esperti a parlare di tutto questo con la voce rivolta ai giovani. "Uniamo così l’attivismo della società civile, la responsabilità imprenditoriale italiana e la politica internazionale -ha detto Sara Roversi di Future Food -per generare un impatto significativo e garantire la costruzione di un futuro corale e sostenibile.Toccare questi punti significa dare un senso al summit sciogliendo il nodo, non piccolo, del potere di chi fa le cose.

Riflettere su sistemi di coltivazione,di gestione dei prodotti della terra, sugli sprechi alimentari di milioni di euro/dollari senza considerare gli squilibri socio economici e le ingiustizie strutturali tra Paesi e continenti, richiede lucidità e sintesi politica. L'Italia che ospita il G20 negli ultimi tempi ha segnato diversi punti a proprio favore con la nuova politica agricola europea (Pac),stanziamenti pubblici aggiuntivi per l'agroagricoltura, accordi con le organizzazioni agricole. C'è bisogno anche di dialogo con le comunità e le istituzioni,per capire, almeno, se non per tanto altro ancora.Le giornate Napoli-Pollica dicono che lo faranno nella cornice della strategia Europea Farm To Fork, il vero pilastro per l'Europa per i prossimi anni. Bisogna fare gli auguri ai relatori e agli scienziati per un buon punto di partenza da Napoli per un tragitto mondiale. Una strada che non tollera più la retorica dei Paesi ricchi che aiutano quelli poveri.Tanto a danneggiare gli uni e gli altri ci pensa già il cambiamento climatico.

La lobby nucleare mondiale, rappresentata da “Nuclear for Climate”, pericolosissima per la pace e gli equilibri naturali, esiziale per la stessa sopravvivenza umana, in vista della COP 26 di Glasgow, ha lanciato una tattica subdola e astuta per rientrare in gioco e rilanciarsi : si propone, nel suo position paper (rinvenibile al link:  https://www.euronuclear.org/news/cop26-  / posizione-carta NetZero nucleare  ),  come alleata delle energie rinnovabili per il conseguimento dell'obiettivo della decarbonizzazione.                               I sottoscrittori del presente appello ritengono che la profferta unitaria indirizzata agli ambientalisti, volta a giustificare gli accordi verticistici nelle varie “cabine di regie”, vada rifiutata: né i micro reattori modulari di cui ha parlato anche l'attuale responsabile del MAET Cingolani, chiamando in causa il “dibattito europeo”, né tantomeno la fusione nucleare, che resta un miraggio, cambiano i termini della questione. Che sono, nella sostanza, ancora quelli che furono, in Italia, sottoposti al voto popolare il 12 e 13 giugno 2011, subito dopo la catastrofe di Fukushima, ricevendo un responso inequivocabile: l'unica cosa certa delle tecnologie nucleari applicate massivamente.

Ed anche per la pace, se si comprende l'indissolubilità del legame che tiene insieme il nucleare civile con quello militare, due facce della stessa medaglia. Fino alla minaccia di autodistruzione totale per incidente o per errore di calcolo, come ad esempio dimostrato dalla guerra per falso allarme evitata da Stanislav Petrov il 26 settembre 1983. Una osservazione di fondo va fatta, che porta ad ogni compromesso opportunistico: è impossibile passare ad un modello decentrato con il nucleare di mezzo perché il controllo del combustibile deve essere sottoposto a valutazioni sanitarie e addirittura militari che ne escludono un impiego a sovranità territoriale.Sulla base di questo ragionamento noi ribadiamo la necessità che in Italia sia data piena e completa attuazione alla volontà popolare per la denuclearizzazione manifestata con il voto di dieci anni fa. Per questo, in coerenza, esigiamo l'adesione dell'Italia al trattato di proibizione delle armi nucleari e la recessione dalla condivisione nucleare NATO. Alla COP26 di Glasgow ci sembra importantissimo che il disarmo (quindi la denuclearizzazione), all'origine della formazione dell'ONU e dei suoi Statuti, sia incluso tra le soluzioni per l'emergenza climatica ed ecologica.L'attività militare e le guerre distruggono esseri umani e ambiente mettere a rischio con la deterrenza nucleare la sopravvivenza di tutti;ma sono anche causa di gravissimo inquinamento permanente: quello che prodotto di CO2 – quantità ingentissime! (in varie stime, oltre il 15%) - va computato ufficializzare all'interno del percorso delle COP sul clima si persegua, con monitoraggio adeguato, la sua riduzione ed eliminazione. Con l'obiettivo di un inserimento nel testo degli accordi di Parigi sul clima, su questo punto – no nucleare, no guerre, si disarmo, si pace tra gli uomini e pace tra gli esseri umani e la natura - accettare alla mobilitazione convergente di ecologisti e pacifisti nell'occasione della preCOP di Milano (dal 29 settembre al 2 ottobre) e della COP di Glasgow(dall'1 al 12 novembre).

Alex Zanotelli, Moni Ovadia, Mario Agostinelli, Alfonso Navarra, Luigi Mosca, Antonia Sani, Ennio Cabiddu, Patrizia Sterpetti.

 

Perché bisogna dare credito al quadro sui finanziamenti alle industrie inquinanti dell'Autorità bancaria europea.

 

Non ci sono soltanto le critiche. Per le banche che continuano a finanziare l'inquinamento ora ci sono anche i numeri. E viene dallo stesso mondo della finanza che su un campione di 29 istituti europei ha accertato che il loro coefficiente di "patrimonio verde" non arriva all'8  %. E 'la prova sul campo che bisogna cambiare registro e smetterla di dare soldi a imprese che sono fuori da ogni approccio sostenibile. In Europa la discussione sul sostegno economico a gruppi industriali estranei alla lotta ai cambiamenti climatici va avanti da anni, ma gli effetti di  politiche di finanza sostenibile se ne vedono ancora pochi. Molti governi non riescono a distinguere i programmi politici dagli interessi della finanza che sulle fonti energetiche tradizionali fa affari miliardari. E 'l'Autorità bancaria europea nel primo green stress test a dirci che il  sistema ha lacune profonde. Quanto inconsapevoli non è chiaro.

L 'Autorità conferma l'urgenza di rimediare se le banche vogliono ottenere una transizione significativa e agevole a un'economia a basse emissioni di  carbonio. Più della metà dell'esposizione finanziaria verso le aziende è in ettori che potrebbero essere sensibili al rischio di transizione. Si  capisce che le indicazioni dell'Ue hanno bisogno di azioni più efficaci da parte dei governi nazionali e delle associazioni bancarie. Cosa blocca  questi interventi? Si sappia, dice l'Autorità, che il 35% delle esposizioni totali presentate dalle banche sono nei confronti di debitori dell'Ue con emissioni superiori alla mediana della distribuzione.In pratica quando attivano i canali di credito, i banchieri sanno bene che quei soldi non faranno bene all'ambiente. I rischi legati al clima sono concentrati in settori particolari che non vanno, quindi, più sostenuti.

L'Europa del Green New Deal ha un'occasione straordinaria per porre limiti, sempre che la visione di un futuro sostenibile sia nelle corde dei singoli Stati. "Nel complesso - riporta l'agenzia Ansa - i risultati del test mostrano che sarebbe necessaria una maggiore divulgazione sulle strategie di transizione e sulle emissioni di gas a effetto serra (GHG) per consentire alle banche e alle Autorità di vigilanza per valutare il rischio climatico in modo più accurato ". Ma qui si torna al punto di partenza: chi deve muoversi?

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